Chronique #7 : Divergente tome 2.

Divergente tome 2 de Veronica Roth.

Auteure : Veronica Roth.

Edition : Nathan.

Genre : dystopie.

Prix : 16,90 €.

Nombre de pages : 461.

Résumé : Le monde de Tris a volé en éclats. La guerre a dressé entre elles les factions qui régissent la société, elle a tué ses parents et fait de ses amis des tueurs. Tris est rongée par le chagrin et la culpabilité. Mais elle est divergente, plus que tout autre, elle doit choisir son camp. Et se battre pour sauver ce qui peut encore l'être.

Mon avis.

J'ai apprécié ce second tome mais beaucoup moins que le premier, il y a beaucoup plus d'actions mais Tris montre une nouvelle facette d'elle où elle est plus fragile et moins sûre d'elle.

Tris doit fuir la ville où le massacre des Altruistes perpétués par les Érudits et les Audacieux sous simulation a pris fin, au prix de nombreuses vies. La mort des parents de Tris l'a plongé dans un état où elle n'a plus aucune considération pour sa propre vie et elle n'a plus confiance en elle. Tris en apprend plus sur le passé mystérieux de Tobias. Dans ce tome, on en découvre plus sur le fonctionnement des diverses factions (les Fraternels et les Sincères) et c'est intéressant de découvrir en profondeur le fonctionnement interne de ses factions. 

Tris se montre plus fragile et distante avec la réalité. La mort de ses parents l'a profondément affecté et on le ressent tout du long du livre. J'ai moins apprécié cette facette où elle se montre vulnérable, j'aime quand Tris se montre forte et courageuse. Elle doit faire des choix difficiles : choisir entre Tobias ou ce qui lui semble le plus juste et découvrir la vérité. 

Tobias et la romance qui l'accompagne sont beaucoup moins présents. Leur relation est confrontée aux secrets que chacun cache à l'autre. Nous découvrons le passé que Tobias gardait enfoui. 

Une nouvelle guerre se prépare auquel Tris et ses amis vont devoir faire face. Une menace plane toujours sur les Divergents. Le secret qui a déclenché la guerre sera dévoilé pour le meilleur ou le pire. Pour moi, le "secret" ne m'a étonné, on s'y attend quand on y réfléchit un peu. Cela diminue le suspens. 

"Mon pardon aurait sauvé Al, mais je le lui ai refusé. Ma présence d'esprit aurait pu épargner Will, mais elle m'a fait défaut"  (page 253).


Et vous, qu'en avez-vous pensé ?